Régulièrement sur Creators nous vous proposons des séries photos de paysages verdoyants, de personnes belles et heureuses, de natures mortes mais pas trop. Régulièrement sur Creators, on vous pense à vous le matin et on se dit que c'est tout de même mieux de commencer sa journée avec l'illusion que tout va bien, ne serait-ce que pour quelques instants, le temps d'une série photo. Mais ce matin non. Ce matin on vous donne en pâture le travail de Denise Kwong, des clichés faits pour finir en couverture d'un roman de Stephen King. Non, rien ne va bien dans les photos de Denise Kwong, tout y est oppressant.
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Denise est photographe depuis 2013 et vie à Sydney, elle publie en grande partie son travail sur son compte Instagram. Pour elle, il s'agit d'expérimentation pour définir son style. « Mes photos ont énormément changé et évolué. Je faisais du minimalisme et des paysages au début, aujourd'hui je m'intéresse plus à l'humain et à tout ce qu'on peut faire avec un corps. Les mains en particuliers. J'aime photographier ce qui m'entoure directement. C'est ma façon d'être créative. » nous explique-t-elle.
Découvrez les travaux de Denise Kwong sur son compte Instagram et son Tumblr.Plus de photographies dérangeantes : Yung Cheng Lin expérimente le corps féminin dans la douleurDes autoportraits d'humains inhumains