Photo : Sonic Avenues
On les a maintes fois qualifiés de « power pop », mais les membres de Sonic Avenues en ont soupé de cette étiquette. « Même le titre de l'album, Disconnector, fait référence à ce désir de rupture avec le passé plus pop, dit Max Desharnais. Avec ce disque, on voulait aller plus en profondeur, avec des tempos plus lents et une ambiance un peu plus sombre en général. On ne sonne plus vraiment comme Joe Jackson ou Elvis Costello, qu'on associe au power pop. »Si le rock aux teintes punk des Montréalais connaît un bon succès en Amérique du Nord et en Europe, le tiers de leurs albums s'envolent au Japon. Où le band n'a jamais mis les pieds. « Ça fait partie des plans, dit Jean-Christophe Niquet, mais on a tous des jobs à temps plein qui ne sont pas liés à la musique et on n'a pas six mois de vacances. Mais faut clairement y aller! »
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