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Music

Requin Chagrin - « Adélaïde »

Un homme danse comme si sa vie en dépendait sur fond de garage-pop euphorique et ultra-addictive. Il vous faut quoi de plus ?

Choisir comme nom un morceau de Michel Sardou (face B du 45-tours

Un Accident

paru en 1975, sur laquelle apparaît Mireille Darc), c'est déjà un risque. Y associer un titre renvoyant droit aux heures les plus noires de la new wave française (« Adélaïde » d’Arnold Turboust, morceau paru en 86 et sur lequel apparaît Zabou), c'est à la limite du suicidaire.

Mais si vous avez suivi tous les épisodes

, vous savez que Marion Brunetto n'ai rien à voir avec tout ça, qu'elle a 25 ans, qu'elle fait seule, dans sa chambre, un genre de garage pop euphorisante et ultra-addictive, et qu'elle a sorti depuis fin 2014 une poignée de titres euphorisants et ultra-addictifs

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qui ont été édités sur vinyle il y a quelques jours à peine par La Souterraine et Objet Disque

. Ce qui fait que vous connaissez peut-être son

« Adélaïde » et que vous savez donc, par conséquent, qu'elle n'a rien à voir avec celle d'Arnold Turboust et de Zabou. Ce que vous ignorez, en revanche, c'est qu'

« Adélaïde » c'est également un clip fabuleux dans lequel Peterson Ceus (qui, vous l'ignorez probablement aussi, a participé à La France A Un Incroyable Talent) danse comme si sa vie en dépendait. On vous le présente aujourd'hui pour la première fois dans l'Histoire de l'euphorie et de l'ultra-addiction.

La Souterraine, ce n'est pas qu'un label de qualité, ce sont aussi des fêtes organisées avec soin pour une clientèle prestige. Voici les prochaines :