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Music

Azealia Banks nargue la Cour pénale de New York dans son dernier clip

Ça s'appelle « The Big Big Beat », on n'y croise ni Trump ni Beyoncé, et c'est un tube.

On aurait tendance à oublier qu'Azealia Banks balance des tubes club-rap bien plus efficaces que ceux de ses concurrentes. La plupart des gens préfère, et on ne peut pas leur en vouloir car c'est aussi ça qui a fait d'elle une chanteuse sulfureuse, lui tomber dessus quand elle fait n'importe quoi sur Twitter, quand elle appelle à voter pour Trump, ou qu'elle agresse des gens dans la rue avant de finir au tribunal. Après tout, c'est punk non ? Et les médias continuent à parler d'elle. Maintenant qu'elle a goûté au Marteau de la Justice, elle peut l'attester : ce royaume de la paperasserie est une prise de tête perpétuelle, et quoi de mieux que de narguer la cour pénale de New York City en dansant devant son bâtiment en complet camouflage ? C'est d'ailleurs ce qu'elle fait dans son dernier clip, « The Big Big Beat », extrait de sa dernière mixtape, Slay-Z.

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La vidéo réalisée par Matt Sukar est essentiellement tournée sur un trottoir et dans un couloir, les mauvaises langues affirment d'ailleurs que son budget a été entièrement dilapidé dans les « nouveaux » seins de Banks. Puisqu'Azealia n'en loupe pas une, elle danse elle aussi lascivement sur une caisse de flic (ça vous rappelle sûrement un truc) en scandant « How could that little young bitch from the ghetto hit the jackpot / ran off with the cash pot » avec l'assurance d'une tueuse. Tu vas faire quoi, Beyoncé ? Rien sûrement, et c'est de bonne guerre.